histoires



Pourquoi les jeunes filles baissent les yeux quand on leur fait une déclaration d'amour? Pour vérifier que c'est bien vrai !


 


- Une jeune fille se plaint à son amie :
- "A tous nos rendez-vous, il m'offre des fleurs fanées."
- "Eh bien, essaye d'arriver à l'heure..."


 

 


C'est une classe spéciale de Blondes, en cours de géographie. Le prof déjà accablé d'être tombé dans cette classe, montre un pays sur la carte du monde :
- "Qui peut-me dire de quel pays il s'agit ?"
Silence le plus complet dans la classe...
- "Allez les filles, c'est un grand pays d'Asie, le communisme y a fait rage, on en parle beaucoup à cause du non-respect des droits de l'homme... ???!!!"
Pas une réponse...
Démoralisé, le prof craque :
- "C'est la Chine, bordel de merde, la Chine !, LA CHINE !"
Il fait une autre tentative et montre le grand pays de M. Buch.
- "Alors, quel est ce pays ?"
Stupéfaction, Béatrice lève timidement le doigt :
- "L'Amérique M'sieu ?"
- "Oui, bravo Béatrice ! et maintenant qui va me dire qui a découvert l'Amérique ?"
Et toutes les blondes en chœur :
- "Béatrice, Béatrice, Béatrice !!!"


Une femme dit à son mari :
- "Chéri, cette nuit j'ai fait un rêve incroyable. On était en train de faire l'amour et à côté de nous, il y avait un homme de couleur noire qui agitait un éventail et j'ai eu un orgasme inimaginable".
Le couple décide de concrétiser le rêve. Ils trouvent un grand Noir et moyennant 100 euros, il accepte de venir les ventiler avec un éventail pendant qu'ils font l'amour. De retour à la maison, dans la chambre à coucher, le couple commence ses ébats et le grand noir agite son éventail. Malheureusement, aucun résultat. La femme ne prend pas de plaisir. Elle propose alors à son mari d'échanger sa place avec celle du grand Noir ! L'échange se fait, le mari prend l'éventail et commence à ventiler son épouse et l'autre homme... Dans les instants qui suivent, sa femme hurle de plaisir en éprouvant un orgasme incroyable. Le mari tape alors sur l'épaule du grand Noir et lui dit :
- "Alors...T'as vu comment il faut ventiler ?"



Il y a longtemps vivait un officier de l'armée royale nommé Capitaine Bravado. C'était un homme, un vrai de vrai, qui ne montrait aucune peur lorsqu'il faisait face à ses ennemis.

Un jour, alors qu'il naviguait sur les 7 mers, il vit un bateau pirate approcher. Son équipage était très nerveux. Le capitaine Bravado cria:
- "Allez me chercher ma chemise rouge!"

Le premier officier alla chercher la chemise rouge du capitaine qui aussitôt l'enfila. Il mena alors son équipage à la bataille et tua tous les pirates.

Ce soir-là, tous les hommes étaient assis dehors et fêtaient leur victoire.
L'un d'eux demanda au capitaine:
- "Capitaine, pourquoi avez-vous demandé pour votre chemise rouge avant la bataille?"
Le capitaine répondit:
- "Si j'avais été blessé pendant l'attaque, mon sang n'aurait pas paru sur la chemise. Et les hommes auraient continué de se battre sans peur."

Tous les hommes le regardèrent avec admiration:
- "Quel homme courageux!"

Comme le Soleil se levait le lendemain matin, les marins virent non pas un, non pas deux, mais DIX bateaux pirates qui approchaient. L'équipage regardait dans un silence horrifié et attendait les ordres du capitaine.

Le capitaine Bravado regarda tranquillement les 10 bateaux, dévisagea ensuite son premier officier et lui dit calmement:
- "Allez me chercher mon pantalon marron!"



Cendrillon a maintenant 75 ans....

Après une vie heureuse avec son prince charmant, maintenant décédé, elle passe ses journées sur son perron dans une chaise berceuse, à observer le monde, avec son chat Bob sur ses genoux. Elle est heureuse.

Par un bel après-midi, dans un nuage, apparaît soudain sa marraine, la bonne fée.

Cendrillon lui demande :
- "Chère marraine, après toutes ces années, que fais-tu ici?"
- "Cendrillon, depuis la dernière fois que je t'ai vue, tu as vécu une vie exemplaire. Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour toi? Un souhait que je pourrais exaucer?"

Cendrillon est surprise, joyeuse et rouge de confusion. Après y avoir réfléchi un peu, elle murmure :
- "J'aimerais être immensément riche."

A l'instant même, sa chaise berceuse se change en or massif. Cendrillon est abasourdie. Bob, son chat fidèle, sursaute et se réfugie au bord du perron, tremblant de peur.

Cendrillon s'écrie :
- "Oh ! Marraine ! Merci !"
- "C'est la moindre des choses. Quel est ton deuxième souhait?"

Cendrillon baisse la tête et examine son pauvre corps décharné et dit :
- "J'aimerais être belle et jeune à nouveau."

Presque instantanément, elle retrouve sa beauté d'antan. Cendrillon ressent en elle des sentiments qu'elle n'a pas ressentis depuis longtemps : des élans oublies, des ardeurs ...

- "Je peux t'exaucer un dernier souhait. Quel est-il?"

Cendrillon regarde son pauvre chat apeuré et répond :
- "Je veux que tu transformes mon chat Bob en un beau et viril jeune homme."

Comme par magie, Bob est transformé en un magnifique mâle, si beau que même les oiseaux ne peuvent s'empêcher d'arrêter de voler et de tomber à ses pieds.

La bonne fée dit :
- "Félicitations Cendrillon. Amuse-toi bien dans ta nouvelle vie."
Et en un éclair, elle est partie...

Pendant quelques instants magiques, Bob et Cendrillon se regardent tendrement. Cendrillon est comme hypnotisée par le plus bel homme qu'elle n'ait jamais vu.
Puis, Bob s'avance langoureusement vers elle, la prend dans ses bras musclés, lui souffle dans l'oreille un souffle tout chaud et lui murmure :
- "Là, tu regrettes de m'avoir fait opérer, n'est-ce pas?"


Ce sont deux homme bourré dans une voiture, ils vont à 90 km/h. Il y en a un qui dit:
- "Freine !!!"
ET ils foncent dans un fossé et il lui redit :
- "Pourquoi t'as pas freiné?"
L'autre lui répond:
- "Bah! C'est toi qui conduit."

 

 

 


 

Voici la recette de la dinde au whisky 

 

Acheter une dinde d'environ 5 kg pour 6 personnes, une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.

 

Barder la dinde de lard, la ficeler, la poivrer, et ajouter un filet d'huile d'olive.

 

Faire préchauffer le four ( thermostat 7 ) pendant 10 minutes.

Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là.

 

Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.

Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.

 

Mettre le therpostat à 8 apres 20 binutes pour la saisir.

Se bercer 3 verres de whisky.

 

Après une debi-beurre , fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.

Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derriere la bravate - non - la cravate.

 

Apres une demi-heure de blus, tituber jusqu'au bour. Oubrir la putain de borte du bour et reburner - non - revourner - non - recourner - non - enfin, mettre la guinde dans l'autre sens.

 

Se prûler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.

Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.

Buire - non - luire - non - cuire - non - ah ben si - cuire la bringue bandant 4 heures.

Et hop, 5 berres de plus. (a fait du bien par où que ça passe.)

 

R'tirer le four de la dinde.

Se rebercer une bonne goulée de whisky.

Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois .

Rabasser la dinde qui est tombée par terre. L'ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout ...

 

Se péter la gueule à cause de gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.

Décider que l'on est aussi bien par terre et binir la mouteille de rhisky.

Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.

 

Manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise , le lendemain matin et nettoyer le bordel qu'on a mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.

 


Quand je suis né, j'étais noir.

Quand j'ai grandi, j'étais noir.

Quand je vais au soleil, je suis noir.

Quand j'ai froid, je suis noir.

Quand j'ai peur, je suis noir.

Quand je suis malade, je suis noir.

 

Tandis que toi, "homme blanc",

 

Quand tu es né, tu étais rose,

Quand tu as grandi, tu est devenu blanc,

Quand tu vas au soleil, tu deviens rouge,

Quand tu as froid, tu deviens bleu,

Quand tu as peur, tu deviens vert,

Quand tu es malade, tu deviens jaune,

 

Et c'est moi que tu oses appeller "homme de couleur" ?

 


Il n'existe que deux choses infinies: l'univers et la bêtise humaine...

mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.

 

(Albert Einstein)

 


La Lettre d'un automobiliste flashé à 250 km/h sur une portion de route limitée à 70 (en France) :

 

 

"Monsieur le Juge, j'ai effectivement bien vu le marquage "70" en noir cerclé de rouge sur le panneau sans autre indication d'unités. Vous savez que la loi du 4 juillet 1837 rend obligatoire le système métrique en France et que le décret n°65-501 du 3 mai 1961 modifié (prise en application des directives européennes) définit comme UNITES DE BASE LEGALES les unités du système international (S.I.). Vous pouvez vérifier tout cela sur le site du gouvernement :

http://www.industrie.gouv.fr/metro/aquoisert/si.htm

 

Or dans le système S.I. l'unité de longueur est le "mètre" et l'unité de temps est la "seconde". Il est donc évident que l'unité de vitesse LEGALE est alors le METRE PAR SECONDE. Je ne peux pas imaginer une seconde que le Ministère de l'intérieur n'applique pas les lois de la République. Donc 70 m/s cela correspond très exactement à 252 km/h.

Les policiers affirment que j'ai été chronométré à 250 km/h et je ne le conteste pas. J'étais donc bien 2 km/h sous la limite autorisée. Merci d'en prendre bonne note, de me rendre mon permis et de me laisser repartir.

 

Avec mes meilleures salutations

JM


Une prof d'université rappelle à sa classe que le lendemain aura lieu l'examen de fin d'année. Elle précise qu'elle 'acceptera aucune excuse d'absence, en dehors d'une sévère blessure, d'une grave maladie ou d'un décès dans la famille très proche. Au fond de l'auditoire, un jeune rigolo lui demande alors :

- Et en cas de très grande fatigue pour activité sexuelle débordante ?

Tout l'auditoire éclate de rire ...Quand le silence est enfin rétabli, la prof sourit à l'étudiant, secoue la tête et lui dit doucement :

- Vous pourrez écrire avec l'autre main ...

 


Avec la crise, tout le monde souffre :

 

Les boulangers ont des problèmes croissants.

Chez Renault la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.

A EDF les syndicats sont sous tension.

Coup de sang à l’usine Tampax.

Les bouchers veulent défendre leur bifteck.

Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce : ils en ont assez de se faire plumer.

Pour les couvreurs c’est la tuile.

Les faïenciers en ont ras le bol.

Les éleveurs de chiens sont aux abois.

Les brasseurs sont sous pression.

Les cheminots menacent d’occuper les locos : ils veulent conserver leur train de vie.

Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.

Les pédicures doivent travailler d’arrache-pied.

Les ambulanciers ruent dans les brancards.

Les pêcheurs haussent le ton.

Les prostituées sont dans une mauvaise passe.

Sans oublier les imprimeurs qui sont déprimés et les cafetiers qui trinquent,

Les carillonneurs qui ont le bourdon.

Les électriciens en résistance.

Et les dessinateurs qui font grise mine.

 

 


Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, mais à cause de la crise il n’y a plus de touristes.
Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.

Plusieurs mois passent, misérables.
Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100€


Le touriste n’est pas aussi tôt monté à sa chambre que l’hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.

Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l’approvisionne en viande.

Le paysan, à son tour, se dépêche d’aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.

La prostituée se rend à l’hôtel pour
rembourser l’hôtelier qu’elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l’heure.

Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste qui redescend dit à l’hôtelier que la chambre ne lui convient pas.
Il ramasse son billet et disparaît.

Rien n’a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N’empêche que plus personne dans le village n’a de dettes. N’est-ce pas ainsi qu’on est en train de résoudre la crise mondiale?

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :